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Sanctuary (2022) (Widescreen)

Englisch · DVD

US Version | Ländercode 1
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Beschreibung

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In the wake of inheriting his father’s hotel chain, Hal attempts to end his long and secret relationship with Dominatrix Rebecca. A battle of wills ensue to keep the upper hand as the power dynamics swing wildly back and forth.

Produktdetails

Regisseur Zachary Wigon
Schauspieler Christopher Abbott, Danita Battle, Margaret Qualley, Christian Casatelli
Label DECAL - NEON
 
Genre Drama
Thriller
Inhalt DVD
Erscheinungsdatum 15.08.2023
Ländercode 1
Edition Widescreen
Version US Version
Originaltitel Sanctuary
Produktionsjahr 2022
Ton Englisch
 

Cast & Crew

Kundenrezensionen

  • Nul, Raté & Mauvais !!!

    Am 10. März 2025 von Bibo geschrieben.

    Durant les dix premières minutes du film, je me suis dit qu’on allait voir de bons dialogues pendant une heure et demie. Puis, les quinze minutes suivantes, ça change radicalement et sombre déjà dans la perversion. Ensuite, ça donne l’impression que cela va redevenir bien… sans jamais y arriver.

    Après avoir hérité de la chaîne hôtelière de son père, Hal tente de mettre fin à sa longue et secrète relation avec la dominatrice Rebecca. Une bataille de volonté s'ensuit pour garder le dessus alors que la dynamique du pouvoir oscille sauvagement d'un côté à l'autre.

    Deux acteurs dans un appartement qui ressemble à seule pièce à travers la réalisation. Huis-clos improbable d’une amante dominatrice avec un riche héritier dans un scénario plat qui ne tient pas debout. Un synopsis prometteur avec le scénario avec une intrigue qui disparaît très rapidement.

    Margaret Qualley est en train de descendre dans mon estime !
    Elle est dans de plus en plus de films que je déteste.
    Des exemples ? Facile : The Substance (2024), Kinds of Kindness (2024) et Poor Things (2023) pour ne citer qu’eux.

    Elle est aussi dans des films qui ne m’intéressent pas, mais à qui je pourrais quand même laisser leur chance comme Drive-Away Dolls (2024) ou Stars at Noon (2022). Qui sait ? Je pourrais être surpris et revoir mon jugement ! The Nice Guys (2016) a l’air relativement sympa, par contre. Celui-ci, c’est sûr que je vais le voir prochainement.

    En fait, le seul film que j’ai vraiment aimé avec Margaret reste Virgin Secrets (2019) à ce jour.
    Cela n’empêche pas la fille d’Andie MacDowell d’être une bonne actrice très talentueuse !
    Mais les choix de films sont essentiels pour que j’apprécie pleinement une actrice ou un acteur.
    La magnétisme de l’actrice qui livre une performance certes remarquable ne suffit pas à faire oublier un film répétitif, frustrant et rapidement ennuyeux. 

    Alors que dire de ce film de Zachary Wigon ? Sanctuary n’est vraiment pas terrible. Je me suis cruellement ennuyé, de pied ferme, dans ce film psycho-masochiste, bien tiré par les cheveux. Christopher Abbott n’est pas au top, il me semble. Son personnage donne la nausée tant il est mou, faible et perdu. Dommage, car il y avait matière à faire quelque chose de bon.

    Pas convaincu du titre non plus, bien que l’on attends de comprendre pourquoi il se nomme comme ceci.

    C’est marrant : on ne voit que deux acteurs durant le film, mais il y a quand même huit noms qui s’inscrivent au générique de fin. Effectivement, on voit un couple qui va prendre l’ascenseur et on voit quelques photos de famille. Du coup, forcément…

    Ce film peut dégoûter des huis-clos, de l’univers BDSM et de plein d'autres choses. Il est très mauvais et même les bons messages intéressants se noient dans l’ennui ou la malsainité.

    "Sanctuary" est une histoire de séduction et de jeux de pouvoir avec ces deux personnes qui essaient de prendre le dessus sur l'autre. Tous les coups sont permis ou presque…
    Ce jeu du chat et de la souris ressemble plus à une guerre psychologique qui est très souvent enfantine et idiote, ce qui fait que l'on ne croit jamais que ça pourrait vraiment aller plus loin que de simples mots.

    Un long-métrage vraiment particulier et qui va en laisser plus d’un sur le carreau. Pas forcément parce qu’il se déroule en temps réel, mais surtout pour ce scénario, un tant soit peu tiré par les cheveux, narrant des rapports de domination et de soumission entre un jeune héritier et une call girl de luxe. L’entame est plus qu’intrigante et le premier quart d’heure nous bluffe, vu qu’on ne sait pas trop sur quel pied danser jusqu’à une mini révélation bien menée.

    Attention, il y aura probablement des Spoilers, même involontaires !

    Lorsque la première session de sadomasochisme psychologique se termine, c’est là que commence vraiment un jeu malsain et de rapports de force entre les deux sexes. Et ce n’est clairement pas toujours très convaincant.

  • Suite et fin de ma critique incroyable !!!

    Am 10. März 2025 von Bibo geschrieben.

    En effet, on a tout de même du mal à croire à la suite des événements dans ce huis-clos très théâtral. Les rapports des personnages semblent plausibles, mais leur évolution devient de plus en plus étrange et peu probante.

    Quant au final, ou plutôt la résolution de leur conflit, elle apparaît encore plus improbable. Dans ces conditions, il est difficile d’adhérer à la progression dramatique de ce premier film de Zachary Wigon, quand bien même il est peu commun et développe un sujet intéressant, voire intriguant.

    Le tout est forcément très bavard, enchaînant dialogues pertinents rapidement enseveli par d’autres beaucoup moins captivants. Je me demande, d’ailleurs, si le format court-métrage d’une trentaine de minutes n’aurait pas mieux convenu à ce script particulier.

    Heureusement, on peut dire que la photographie faite de couleurs chaudes et la mise en scène tentent (un peu) d’innover et de nous délivrer quelques bonnes idées quand d’autres s’avèrent parfaitement inutiles. Je pense notamment aux plans où la caméra bascule, par exemple. Il y en a au moins quatre. Mais la valeur ajoutée de ce Sanctuary est sans conteste son actrice, encore une fois, bien plus crédible que le film en lui-même. Mais, comme je l’ai fait comprendre, elle n’arrive pas à rendre pertinente cette histoire à dormir debout.

    À noter que le sujet des rapports de domination et de soumission semble pris de travers plutôt que frontalement et que cela nous laisse un sentiment de frustration et un goût d’inachevé, même si la morale finale est équivoque et dans l’air du temps.

    Oui, le pitch était prometteur : le futur héritier d'un grand groupe (créé par son père) suit des séances de psychologie particulières, mais souhaite rompre avec sa maîtresse sadomasochiste. Les deux protagonistes sont immatures, assez antipathiques et n’ont rien d’attirant. Ce n'est vraiment pas le genre de personnes que j’aime rencontrer. Ils ne font que parler et se prendre la tête, sans que l'on croit une seconde à l'intrigue ou à ses conséquences.

    Film assez mal écrit. On est souvent étonné du déroulement de l'action, mais pas dans le bon sens. Un film qui se veut original qui ferait certainement une bonne pièce de théâtre pour ceux qui l’ont adoré. Quoiqu'il y aurait des frais, vu qu’il y a pas mal de choses qui se cassent !

    Bref !
    Pour ma part, ce fut encore une perte de temps.

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