Elizabeth Harvest (2018) (Limited Edition, Mediabook, Blu-ray + DVD)

Kundenrezensionen

• Bof...

  Am 24. Februar 2025 von Bibo geschrieben.
  Diese Kundenrezension bezieht sich auf eine alternative Version.

  Comment un film qui est aussi bien pendant plus d’une heure peut avoir une dernière demi-heure si mauvaise qu’elle gâche absolument tout ?
  
  Okay !
  Sebastian Gutierrez est un réalisateur plutôt intéressant à la base, je crois. J’ai bien aimé Women in trouble (2009), Rise (2007) n’est pas mal et assez intriguant. Il donne encore une autre dimension aux vampires.
  
  Pas encore vu City of Sin (2016), ni Hotel Noir (2012), ni A Girl walks into a Bar (2011), ni Judas Kiss (1998). Il me semble que ce réalisateur adore Carla Gugino & Malin Akerman ! Elles ont toutes deux joué dans pas mal de ses films.
  
  Abbey Lee n’est pas une actrice extraordinaire. Elle manque cruellement de charisme, il me semble. C’est assez dingue, parce que je ne me souviens pas d’elle dans les autres films que j’ai vu !
  
  Bon, j’ai pas trop aimé La Tour Sombre (2017), mais je ne doute pas que les livres sont biens, vu qu'ils sont du grand maître Stephen King.
  
  Abbey Lee Kershaw fut son nom complet. Née le 12 juin 1987, elle est mannequin, actrice et musicienne australienne. Son père s’appelle Kim Kershaw. Elle a abandonné l’utilisation de son nom de famille, Kershaw, en 2015. Ce qui est une bonne chose, car mon chanteur préféré est Nik Kershaw… et je n’aurais pas voulu faire un lien entre ces deux artistes, sans vouloir être méchant !
  
  Je pense qu’elle doit être meilleur mannequin, voire chanteuse qu’actrice. Mais je ne mettrai pas ma main à couper et je peux changer d’avis. Elle est dans Old (2021) qui n’est pas le pire film de Shyamalan, mais pas le meilleur non plus. Elle se trouve dans la série Lovecraft Country qui a l'air d'avoir déçu... les fans de Lovecraft !
  
  Elle joue aussi dans The Neon Demon (2016) que j’avais détesté tout comme Gods of Egypt (2016). Vous l’aurez compris, je ne pense pas que le cinéma avec Abbey Lee sera un jour dans mes priorités !
  
  Ceci dit, ici, j’ai de la peine à dire si elle joue mal… ou si c’est le problème spécifique et particulier de son protagoniste qui la fait jouer ainsi. Je pense que la réponse n’est pas très dure à trouver.
  
  Avec "Elizabeth Harvest", Sebastian Gutierrez revisite, en quelque sorte, le conte folklorique "Bluebeard" et propose sa version de la traditionnelle histoire de la belle et de son prince charmant qui l'emmène dans son château, sauf qu’ici, il n’y pas de château, juste une superbe et grande maison qui abrite de nombreux secrets, dont une pièce mystérieuse qui est interdite à Elizabeth. Un château moderne qui se transforme vite en forteresse de laquelle il semble impossible de sortir. Le réalisateur mélange les genres (thriller, science-fiction, drame) et s'inspire de nombreux films que ce soit pour les thèmes abordés ou même pour le style.
  
  Un style froid qui participe au sentiment d'oppression de certaines scènes de la première partie, car la seconde est beaucoup moins efficace. Car, oui, j'ai beaucoup aimé le début. C'est mystérieux sans l'être trop, car l'intrigue est vite dévoilée. Seulement, le réalisateur se perd avec ce thème à répétition et a également beaucoup de mal à enchaîner.
  
  Finalement, il passe d’un film extraordinaire à un film très classique. Il commence vraiment bien, mais qui ne tient pas la distance. Néanmoins, il se laisse suivre grâce à un huis clos bien géré, une mise en scène élégante et soignée.
  
  L’intrigue n’est pas du tout inintéressante, bien que pas forcément innovante pour le connaisseurs du genre, à savoir le sujet de la manipulation génétique. Dur de se pencher sur l'intrigue du film sans en dévoiler les mystères. C'est d'ailleurs quand ces mystères se lèvent que l'histoire perd de son intérêt et que le rythme commence à s'essouffler.

• Suite et fin de ma critique !!!

  Am 24. Februar 2025 von Bibo geschrieben.
  Diese Kundenrezension bezieht sich auf eine alternative Version.

  L’ambiance angoissante et oppressante est plutôt bien entretenue, tout comme les personnages inquiétants, mais comme le scénario repose sur une série de rebondissements émaillés de flashbacks, j’ai finalement lâché le fil de l’intrigue en me perdant dans ce méandre d’explications qui rendent le film trop complexe et pénible à suivre. Le film est de plus desservi par un doublage très mauvais (en français) avec une prononciation très artificielle surtout la personnages principale. J’aurais dû le voir en VO.
  
  Ciarán Hinds a un excellent charisme, lui. Il est un mélange d’Al Pacino et de Javier Bardem. Il est celui qui est le mieux doublé en français. On retrouve évidemment Carla Gugino, mais aussi Dylan Baker qui fait plaisir à voir, ici.
  
  Un film qui aurait pu être excellent, mais qui a gâché son potentiel incroyable.