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Carnage Park (2016)

English · Blu-ray

US Version | Region code A
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Description

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It's 1978 and a bank robbery gone wrong forces two criminals to take a hostage – the young-but-resilient Vivian (The Last Exorcism's Ashley Bell) – as they go on the run. But things go from bad to off-the-rails berserk when Vivian and her captors wind up in the crosshairs of a deranged ex-military sniper (Pat Healy, Cheap Thrills, Starry Eyes), who ensnares them in his deadly game of cat and mouse. Rising horror auteur Mickey Keating (Pod, Darling) directs this gritty, grisly homage to the glory days of grindhouse cinema.

Product details

Director Mickey Keating
Actor Ashley Bell, Pat Healy, James Landry Hébert, Alan Ruck, Darby Stanchfield
Label SHOUT! FACTORY
 
Genre Horror
Content Blu-ray
FSK / age rating from age 16
Publication date 01.11.2016
Region code A
Version US Version
Year of production 2016
Audio English
Subtitles English, Spanish
 

Cast & Crew

Customer reviews

  • J'ai pas fini ma critique, en fait !!!

    Written on 02. February 2025 by Bibo 2.
    This customer review refers to a alternative version.

    Le réalisateur, Mickey Keating, n’a l’air de ne connaître que le monde de l’horreur. On ne pourra pas dire que c’est un réalisateur très varié qui prend des risques. Il reste bel et bien dans sa zone de confort que je vais décrire comme du «choquer juste pour choquer» !

    Thriller policier américain qui devient un jeu de survie. Keating a décrit Carnage Park comme étant un clin d’œil aux films de Sam Peckinpah et Peter Watkins qui ont été réalisés dans les années 1970, et il a construit le film autour de ce concept. Vu que l'histoire se déroule justement durant les années 70, on sent que ce réalisateur est fan du cinéma du genre de cette époque, ce qui en soi ne me dérange pas, car c'est une belle période cinématographique, mais, pour autant, ce n'est pas forcément gage d'une réussite et ici, malheureusement, ce n'est pas le cas.

    Une violence et un sadisme à la Hills Have Eyes, on va dire. Sa chaleur climatique et ses lieux peuvent aussi être facilement comparés.

    Un film qui a une couleur jaune, vu qu’un filtre doré a été utiliser pour filmer et intensifier le désert. C’est original, même si on avait déjà connu ça en 2000 avec Traffic, par exemple, dont chaque tiers de film avait une couleur différente.

    Donc… ce film a non seulement une sale couleur, mais il manque cruellement d’originalité, tout comme ses dialogues. Il n’y a pas une seule phrase incroyable qui sort du lot, sauf peut-être les deux, trois phrases d’intro… qui pourtant ne servent pas à grand-chose ! En général, quand je regarde un film, je suis toujours halluciné de voir qu’à un moment donné, il y a toujours quelque chose en rapport avec ma propre vie. Tandis qu’ici, il n’y a pas grand-chose à en tirer.

    Il y a tous ces clichés qu’il faudrait vraiment changer avec le temps.
    On a toujours droit au flic qui arrive et qui fait plaisir, mais qui rate son coup. Il y a les autres survivants qui montrent que la victime principale n’est pas seule, mais qui s’avère souvent inutiles ou alors vraiment en fin de vie. Il y a ces moments où un personnage (ou plusieurs) trouvent une petite maison, rentre dedans, trouvent des indices, mais se fait surprendre.
    Bref !

    En me lançant dans ce film , j’espérais retrouver le plaisir de films tels que l'allemand Prey/Comme des Proies (2021), le suédois Red Dot (2021) ou encore le britannique Calibre (2018).
    Mais j’en étais très loin, malheureusement.

    Certes, j’apprécie les films qui ne s’attardent pas sur la torture et la violence extrême difficilement regardable. Mais Carnage Park est une expérience extrêmement vide. Le film est comme un train à court de piste et de rail. 

    Et on nous fait toujours inlassablement croire que ces films sont tirés de faits réels, alors qu'on sait très bien que c’est faux. Il y a sûrement ce genre d’événement atroces et ignobles qui se passent, ça c’est sûr, hélas. Mais ce n’est pas comme si on regardait un documentaire. On regarde ce genre de films par simple et pur plaisir sadique et voyeur.

    Ashley Bell est une actrice américaine, née en 1986 à New York, connue pour son rôle de Nell Sweetzer dans les films Le Dernier Exorcisme et Le Dernier Exorcisme Partie II… qui sont tous les deux très mauvais ! Pas génial pour faire une grande carrière… bien que sa performance lui a valu une nomination aux Independent Spirit Awards 2011 pour la meilleure actrice dans un second rôle.
    Dur à comprendre !
    Surtout qu’ici, j'ai vraiment l’impression qu’elle surjoue. Je ne l’ai pas trouvé incroyable contrairement à plein d’autres actrices de ce genre de long-métrages,

    J’ai passé des moments sympa, mais aussi pas mal sombré dans l’ennui.

    Il y a des scènes très sombres dans la mine où l’on ne voit pas bien ce qui se passe.

    Carnage Park n’est pas du tout un film essentiel, ni à voir, ni à posséder.
    Le titre dit tout : C’est un carnage.. dans un parc !!!
    Il devient très vite poussif au bout de 45 min. On commence à s'impatienter faute d'éléments dramatiques nouveaux pour relancer l'intrigue.

  • Bof...

    Written on 02. February 2025 by Bibo.
    This customer review refers to a alternative version.

    La première demi-heure tient bien la route et c'est la meilleure partie du film, même si Carnage Park montre ses limites, puis cela vire à la traque entre une proie et un sniper fou. Mis à part ce manque d'originalité, c'est surtout une réalisation qui pêche par son absence de tension qui pénalise tout. De plus, quelques effets de caméra sont peu efficaces, alors que le réalisateur voulait donner de l'intensité à certaines scènes.

    Encore un film très court (moins d'1h20) qui paraît bien plus long. Et je pense qu’on est nombreux à être content quand ce genre de films ratés se terminent.

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