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The Zone of Interest (2023) (Limited Edition, Mediabook, 4K Ultra HD + Blu-ray)

German · 4K Ultra HD + Blu-ray

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Description

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Regisseur und Drehbuchautor Glazer liess sich für den Film von dem gleichnamigen Buch des verstorbenen Autoren Martin Amis inspirieren. Sein Film beleuchtet die Schrecken des Holocaust aus der Perspektive von Rudolf und Hedwig Höss, dem Kommandanten von Auschwitz und seiner Familie, die in ihrem Bilderbuchheim Mauer an Mauer mit dem Vernichtungslager ein äusserst privilegiertes Leben führen.

Product details

Director Jonathan Glazer
Actor Sandra Hüller, Christian Friedel, Johann Karthaus, Luis Noah Witte, Nele Ahrensmeier, Lilli Falk, Anastazja Drobniak, Cecylia Pekala
Label LEONINE
 
Genre Drama
History
War
Content 4K Ultra HD + Blu-ray
FSK / age rating from age 12
Publication date 14.06.2024
Region code B
Edition Limited Edition, Mediabook
Original title The Zone of Interest (German)
Year of production 2023
Length 104 Minutes
Audio English (Audio description), German (Audio description), German (DTS HD Master Audio 5.1)
Subtitles English, German (for deaf or hard of hearing)
Extras Booklet, Interviews, Theatrical trailer, Featurette
Screen 1.78:1, 2160p/24
 

Cast & Crew

Customer reviews

  • Ohne Mitgefühl

    Written on 04. July 2024 by Guido.
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    Die Familie Höss wird im Film thematisiert, die ihr "Traumleben", Mauer an Mauer mit einem KZ führen. Man sieht sie als eine Familie ohne Mitgefühl, auch kein schlechtes Gewissen, sie schlafen gut, und essen Kuchen, während man die Schreie vom KZ hören kann. Es zeigt eine Welt ohne Mitgefühl. Für mich ist es ein Plädoyer, das eigene Mitgefühl zu entwickeln zu vertiefen, denn eben was wäre es für eine Welt ohne Empathie.

  • Auschwitz soll Abgrund bleiben

    Written on 16. June 2024 by ywnm.
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    Nun wenn man sich als Regisseur einen Namen machen möchte sind solche Themen von Vorteil. Ich fand den Film langweilig und übel ist mir auch geworden. Auschwitz soll Abgrund bleiben, schönreden ist keine Option, eine Komödie daraus zu machen, ist keine gute Idee, geradezu unerträglich. Aufgearbeitet ist es angeblich - Hätte man noch strenger hingeschaut. Noch keine 80 Jahre her, wurden in Europa systematisch Menschen ermordet. Menschen, die nicht den idealen Wunschvorstellungen einiger Machthaber entsprachen. -

  • Mit viel Wissen vom Hl

    Written on 21. April 2024 by Anton Utiger.
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  • Nul !!!!!!!!!!!

    Written on 10. January 2025 by Bibo.
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    Non, je fais partie des gens qui n’ont pas du tout aimé ce film.
    En général, je déteste tout ce qui ressort avec un Grand Prix du Festival de Cannes.

    La Zone d'intérêt (The Zone of Interest) est un drame de guerre britannico-polono-américain  écrit et réalisé par Jonathan Glazer (qui a aussi fait l’ultra mauvais Under The Skin dix ans auparavant, donc en 2013). Son titre provient de la zone d'intérêt du camp de concentration d'Auschwitz qui a également inspiré le roman "La Zone d'intérêt" de Martin Amis dont le film est adapté.

    Présenté en compétition au Festival de Cannes 2023, il y remporte le Grand Prix, mais aussi le prix FIPRESCI, le prix CST de l'artiste technicien pour Johnnie Burn, sound designer et chef monteur son du film et le Cannes Soundtrack Award pour la musique originale de Micachu.
    Le film est également nommé pour trois Golden Globes et cinq Oscars en 2024. Il remporte l'Oscar du meilleur film international et l'Oscar du meilleur son.

    Forcément !
    C’était à prévoir…
    Oui, parce que, une fois de plus, j'ai vite compris que le réalisateur se délecterait à jouer avec les mêmes codes tout au long de son film. Ce réalisateur a piégé des millions de personnes, hypnotisées, car ce film allait forcément être un succès.

    Quelqu’un a écrit : «Pour la première fois de ma vie depuis 40 ans, je suis sorti au bout de 10 minutes. Chaque image était un calvaire. En quittant la salle de cinéma, en posant cet acte de résistance, j'ai dit au réalisateur : « Tu es peut-être malin, mais je suis plus fort que toi et tu ne m'auras pas ».

    C’est parti pour ma critique :
    On introduit le film avec quatre minutes d’écran noir avec une musique déjà dérangeante et oppressante. Elle restera volontairement stressante, lourde voir horrifique durant tout le long-métrage. Soit !
    Du coup, vous pouvez arriver en retard au cinéma, vous ne raterez rien du début du film.
    Si jamais, au bout de quarante-cinq minutes, on a aussi droit à quelques secondes d’un écran rouge, cette fois.

    Sujet intéressant, mais film ennuyeux.
    L’image est belle, mais la réalisation est mauvaise.
    Ce fut très pénible et difficile pour moi de regarder ce film, mais pour
    les mauvaises raisons.
    Je sais que vais tout de suite être critiqué par les gens qui ne réfléchissent pas, alors qu’ils pensent que c’est moi qui n’utilise pas ma cervelle. Mais ce n’est pas parce que je n’aime pas un film d’auteur indépendant non américain, considéré par certains comme un chef-d’œuvre, que je n’ai pas le droit de dire ce que je pense. Et ça ne donne le droit à personne de me prendre de haut.

    Ceci étant réglé, je persiste dans ma direction et… Non, je n’ai pas aimé ce film que j’avais pourtant très envie de visionner d’urgence. Ce n’est pas parce que ce n’est pas un film d’action . C’est simplement parce que c’est mal fait, mal filmé, mal amené, mal dirigé. Rien n’est fait pour capter l’attention de quelqu’un qui aurait un déficit d’attention.

    Des plans longs, lents, statiques. On voit souvent les personnages en entier, pas de zoom sur leur visages pendant qu’ils sont en train de dialoguer.

    Aucun intérêt pour la Zone d'intérêt !!!
    Il ne se passe rien et on s'ennuie ferme. Des plans sur un homme qui éteint une par une les lumières du logement, des plans sur les marches descendues une par une...
    C'est d'un vide abyssal !!!
    Ne pas montrer ce qui se passe de l'autre côté du mur est une chose, mais ne rien montrer de ce qui passe devant, c'est affligeant.

  • Suite et fin de ma critique incroyable !!!

    Written on 10. January 2025 by Bibo.
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    Au bout de 15 minutes, on saisit le propos, le décalage et l'inhumanité.
    Le sujet du film c'est : "les architectes de la solution finale étaient capables de vivre normalement en niant la souffrance et les horreurs de l'holocauste". OK, ça on avait bien compris !
    Je doute qu'il y avait besoin d'autant de temps de film pour nous faire comprendre le décalage entre l'horreur des camps et la vie surréaliste de ceux qui les dirigeaient
    Le réalisateur utilise les uniformes nazis et leur organisation impeccable et glaçante pour esthétiser ce qu'il dénonce. Paradoxal & raté. On peut aussi rajouter prétentieux, lisse et sans émotion avec beaucoup de choses incompréhensibles. Trop de films sont à l'image de celui-ci : superficiel, sans profondeur...

    J’ai trouvé cette critique qui m'a fait sourire : «Amis fatigués. Si vous avez besoin d'un moment de repos c'est le bon film c'est soporifique, sans intérêt alors que l'idée est très intéressante. Bonne nuit ... et j'écris n'importe quoi pour avoir les 100 caractères obligatoires pour une critique recevable par le site car sur le film je pense vous avoir tout dit»

    Comment, à partir d'une mise en scène aussi plate, à la recherche de nouveaux effets cinématographiques, faire passer à la jeune génération, l'horreur des camps ? Le réalisateur c'est fait plaisir en oubliant totalement le message que ce genre de film doit porter. Dans la mesure du possible, n'allez pas voir ce film sur grand écran : vous rendrez service au cinéma et rendrez honneur à tous ceux qui ont péris durant cette page noire de notre histoire.

    On ne peut pas, sous prétexte de traiter un sujet aussi grave, être aussi ennuyeux et ne susciter AUCUN sentiment ! Ou alors je devrais plutôt dire : Sous aucun prétexte, on a le droit de faire un film aussi ennuyeux sur un sujet aussi grave.

    Voici une autre critique qui viendra se greffer à la mienne :

    «"la Shoah d'un côté qui n'a jamais été vu" et pour une bonne raison : ce côté n'a pas à être vu. Alors oui, artistiquement "The Zone Of Interest" est intéressant : travelling, plans fixe, sons, musiques, tout est beau. On comprend que l’expérience passe par la sensorialité. On ressent le côté glaçant de la situation, la facilité avec laquelle vit cette famille aux portes de l'enfer. Les choix qu'ils ont qui n'en sont pas à quelques mètres d'eux. Aimer la neige, ne pas vouloir partir, profiter : autant de plaisirs auxquels n'ont pas accès tout ceux qu'ils côtoient. Le calme d'un côté, l'anarchie de l'autre. Mais ce calme est insupportable, car c'est 1h45 de calme. Il ne se passe rien, il n'y a pas de dialogues, pas de scénario, pas d'histoire. Alors oui, c'est le message du film : la vie paisible d'une famille qui crée l’enfer à quelques pas de chez eux. Mais c'est d'un ennui mortel. Les longs plans noirs, n'en déplaisent aux cinéphiles incorruptibles, renforcent ce côté interminable.»

    Réaliser un film entièrement focalisé sur le point de vue des bourreaux n'est pas acceptable sur le plan humain. Le réalisateur a dit vouloir dénoncer la barbarie nazie. Je m'insurge contre cette idée.
    Si on veut démontrer toute l'horreur de la Shoah, il faut montrer toute l'horreur de la Shoah !
    Point final.
    Sans forcément monter en détail de la violence physique explicite interminable en gros plan, car ce n’est pas ça que je dis. Au contraire, on n’a pas besoin de voir l’horreur version gore non plus.

    Je vais simplement terminer en disant : L’Art est exigeant pour se faire apprécier et admirer.

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