Description
Product details
Director | Mark Jones |
Actor | Warwick Davis, Jennifer Aniston, Ken Olandt, Mark Holton, Robert Hy Gorman |
Label | Studio Canal |
Genre |
Horror
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Content | DVD |
FSK / age rating | from age 16 |
Publication date | 06.08.2015 |
Region code | 2 |
Year of production | 1993 |
Length | 88 Minutes |
Audio | English (Dolby Digital 5.1), German (Dolby Digital 5.1) |
Subtitles | German |
Extras | Trailer |
Screen | 16/9, 1.78:1 |
Cast & Crew
Customer reviews
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SUPER
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SUPER!
DIES IST DIE PERFEKTE DVD.
UNTER DEM TITEL(HORROR CLASSIC COLLECTION VON SPLENDID FILMS)
ORIGINAL TON DEUTSCH/ENGLISCH
NEU GEMASTERT UND ORIGNAL BILD.
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trollisch gut !
Der beste Trollstreich aller Zeiten ! Chucky 1 war aber auch ganz gut !
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Geiler Horror
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Sympa, mais...
Film américain réalisé par Mark Jones. Warwick "Willow" Davis joue le rôle d’un lutin vengeur qui croit qu’une famille lui a volé son pot d’or. Alors qu’il les chasse, ils tentent de localiser son or pour l’apaiser.
À l’origine, Davis a injecté de l’humour dans son rôle, et les reshoots ont ajouté plus de gore pour plaire à un public plus âgé. Mais c’est souvent du gore qui fait sourire ! Leprechaun a été la première production interne de Trimark Pictures pour une exposition en salle. Il a rapporté un chiffre d’affaires national de 8,6 millions de dollars sur un budget d’environ 1 million de dollars et est devenu un film culte. Bien que les premières critiques aient été négatives, le succès commercial a donné lieu à une série de films.
Curieux film mélangeant humour noir et gnome sanguinaire. De bonnes choses, du bon second degré, il y a peu de scènes vraiment gores et ça me va très bien ! Elles se posent là et savent nous surprendre à défaut de nous effrayer. Plus proche de la comédie que de l'horreur. Certes, ça n'est pas toujours bien maîtrisé, mais quelques séquences de meurtres sont amusantes.
J’avais dit que ce petit monstre génialissime est comparable à Chucky, mais son humour, à la Freddy Krueger, fait aussi penser à celui du Joker. Son design pour un film de ce genre est parfait, mais son grand point fort est dans son humour noir (comme les trois que j’ai mentionné). Il massacre avec plaisir les hommes qui se mettent entre lui et son or avec toujours le petit mot pour rire. On sent une joie malsaine dans ses actes qui le régalent. C’est son sadisme qui le rendra drôle.
Leprechaun en fait des caisses, se croit hilarant et effrayant, et est tellement inconscient de sa propre nullité qu'il en est fascinant.
Si jamais, ce film était l’un des premiers longs-métrages de la jolie Jennifer Aniston. Aujourd’hui, on en est déjà au 8ème ! Aniston n’est que dans le premier et c’est une des raisons qui rend ce film assez sympa et pas juste à jeter. La voir dans le même film que Davis, en roue libre, est un régal tout comme voir ce dernier dans le rôle titre est également jubilatoire. Impayable avec son accent improbable et son costume volontairement grotesque.
Hélas, pour être honnête, ce Leprechaun fondateur n’était même pas un truc si célèbre que ça, ni même un bon film d’horreur. Considéré par pas mal de personnes comme un inoffensif nanar dont l’unique titre de gloire était d’avoir immortalisé les premiers pas de Jennifer Aniston à l’écran. Très convaincante dans son premier rôle au cinéma d’ailleurs, bien qu’incarnant déjà une pimbêche citadine particulièrement antipathique, mais aussi une adolescente combative crédible sans tomber dans le cliché. C’est après Friends (une des meilleures séries de tous les temps) qu’elle est devenue moins intéressante. Un peu trop bloquée dans son rôle de Rachel, peut-être ??
Ce film voulait renouer avec la grande tradition des «creature flicks» des années 80, certains petits malins ont voulu faire un film de monstre avec une créature originale jamais vu à l’écran… et quel meilleur choix qu’un… leprechaun !!! C’est une sorte de lutin doté de pouvoirs magiques et d'un fort accent irlandais, cireur de chaussure à ses heures perdues et obsédé par son or que des humains ont le malheur de lui voler. -
Suite et fin de ma critique !!!
On peut penser qu’avec «ridicule», le maître mot est lâché ! Car, évidemment, certains vont tout trouver, mais absolument TOUT, ridicule dans ce film, que ce soit le scénario, la mise en scène, le monstre et son costume, les idées involontairement drôle…
Pour ma part, cela ne me dérange pas de voir une telle créature rouler en tricycle, en voiture ou même en fauteuil roulant !
Alors oui c'est mauvais, totalement un film de style série B et c'est évidemment risible aujourd'hui, mais en remettant tout dans le contexte "années 90", je peux quand même attribuer environ deux étoiles à ce film.
Leprechaun, qui a eu sept suites qui démontrent que le cinéma d'horreur a sa lubie de prolonger des sagas invraisemblables, est une erreur insaisissable du septième art, une sorte de blague (pas de lutin) de scénariste qui a abusé de l'Irish Coffee au pub du coin. Mais je ne veux pas trop le casser sur la note, car ça reste un bon délire, mais c'est difficile vu qu’il a très mal vieilli. Drôle, glauque et divertissant ! -
Suite de ma critique !!!
Leprechaun Returns (2018)
Comédie d’horreur américaine réalisée par Steven Kostanski d’Astron-6, à partir d’un scénario de Suzanne Keilly. Il s’agit du huitième volet de la franchise Leprechaun et d’une suite directe de Leprechaun de 1993, sans tenir compte de toutes les suites précédentes (même principe qu’avait fait Halloween, il me semble). Ce qui est amusant, parce que j’ai commencé la saga par celui-ci et après je suis vite allé voir le premier. Et je pense clairement que je vais m’arrêter là. Fort possible que j’ai vu les deux meilleurs !
Le film met en vedette la chouette Taylor Spreitler dans le rôle de la fille du personnage de Jennifer Aniston dans le film original, qui rencontre la créature du titre 25 ans après que sa mère l’ait piégée dans un puits. Warwick Davis a choisi de ne pas revenir dans le rôle du lutin, et Linden Porco a repris le rôle pour ce film.
Côté acteurs, les fans de de violence extrême qui fonctionnent à l’adrénaline vont encore une fois dire qu'aucune performance n’est vraiment mémorable. Ces personnes-là veulent juste voir les personnages mourir et pensent qu’on pourrait mettre n’importe qui à leur place. Oui, c’est glauque, je sais !
Ma réalité serait plutôt que l'actrice principale, Taylor Spreitler, joue très bien et son physique un peu atypique ne nuit en rien. La jolie blackette de service, Pepi Sonuga, nous livre également une prestation survitaminée. Le monstre interprété par un nain est très réussi. Le scénario est un peu facile, mais bon, il existe malgré tout ! Quant à la réalisation, elle est très inégale, flirtant parfois avec l'amateurisme.
À part pour ses plus grands fans inconditionnels, la saga Leprechaun n'a jamais vraiment brillé, il me semble, et ce n'est pas ce nouveau volet qui va changer la donne. La modernité n'habille pas mieux cet énième épisode. Cette version Insta' teenager du Boogeyman aurait pû susciter l'envie de redécouvrir le personnage facétieux et maléfique, il n'en sera rien.
Ceci dit, je préfère les films d'épouvante mélangés à de la comédie qu’au vrai Horreur Gore Torture Porn, et ici c’est quand presque même réussi. Certes, il est indéniable qu'il s'agit d'un film d'horreur, et un film du genre qui emprunte au registre comique avec son monstre à la fois grotesque et moqueur. Ce côté comique pourrait déplaire aux fans de réalisations horrifiques plus sérieuses, qui se concentrent surtout sur les bouts de chair qui volent partout plutôt que sur tout autre aspect.
D’ailleurs, j’ai lu cette critique : «Si la misérable dernière sortie en date, ‘Origins’ en 2014, tranchait avec les habitudes et tentait de s’imposer comme un véritable film d’épouvante avec une créature monstrueuse, ici, c’est le nabot rouquin en tenue folklorique qui est de retour, bien décidé à récupérer son or et à suriner, poignarder tout le monde au passage. Comme dans les Gremlins ou plutôt comme dans les Critters, si on tient compte de l’aura du résultat, ce ‘Leprechaun’ ne lésine pas sur le gore, mais c’est du gore qui tâche, purement ludique et inoffensif, puisque ce nouveau film, comme l’original, est à aborder comme une comédie horrifique, avec un croque-mitaine un peu ridicule qui n’hésite jamais à en sortir une bien crade… et c’est là que le bât blesse, évidemment : la tentative de faire un film à l’esprit Eighties tombe complètement à plat, le lutin ne dit jamais rien qui puisse arracher un rictus amusé, l’ensemble est épouvantablement mal écrit et c’est tout juste si quelques explosions sanglantes viendront secouer le spectateur somnolent face à cette mauvaise soupe, presque aussi nulle que les derniers ‘Puppet master’ qui, eux, ont le mérite d’être parvenus à conserver un petit côté con et mal élevé.» -
Suite et fin de ma critique !!!
Sans aucune prétention, le film honore son cahier de charges de façon plutôt réussi avec son humour maîtrisé qui ne tombe jamais dans le potache, même en glanant des idées à droite à gauche comme le monstre qui sort de la cave inondée provient du premier volet de It/Ça et sa démultiplication en petits bonshommes est inspiré du troisième opus de la saga Evil Dead. En revanche, je pense que l'absence de Warwick Davis se fait ressentir dans le rôle du Leprechaun si on d’abord connu les premiers. Mais je suppose qu’en n’attendant rien de ce film, on en ressort, au final, agréablement surpris.
Comme toujours lorsqu’il est question de réanimer une franchise moribonde, il faut impérativement feindre d’avoir oublié les suites, apparemment toutes pourries, qui ont inondé les bacs de DVD en solde ces vingt dernières années, et reprendre les choses au moment où les films ‘Leprechaun’ signifiaient encore quelque chose pour quelqu’un, à savoir l’épisode fondateur de 1993… qui n’est même pas si connu que ça !
Bien sûr, ce n’est pas le film du siècle, mais si on aime l’humour décalé mélangé au gore, ce n’est pas si désagréable. Bien évidemment un peu crétin, mais encore une fois, soyons sérieux, ce film n’a pas non plus la prétention de concourir aux Oscars. On peut y prendre un petit plaisir, limite coupable, mais au moins on ne s’ennuie pas trop. Au menu, moult tripes et cerveaux éclatés, sans réflexion, aucune… mais personne n’est, à priori, obligé de voir de tels films !
J’ai été particulièrement touché par le personnage que joue Mark Douglas Holton. Il est excellent ! Comme on ne le voit pas beaucoup, j’étais très content de voir qu’il a un plus grand rôle dans le tout premier.
Pour conclure :
Voilà une saga horrifique qui compte désormais 8 épisodes et dont je connais que l’assez mauvais, mais marrant quand même, Leprechaun de base. C’est ce film qui m’a donné envie de voir le premier. Vu que je ne connaissais pas du tout, il n’y avait pas vraiment d’appréhension à découvrir ce film qui reprend la suite du premier épisode. La surprise avec Leprechaun Returns, c’est qu’il lorgne davantage vers la comédie que vers le film d’horreur. Il y a quand même de beaux moments gores, mais on a plutôt tendance à se sentir amusé. Certains dialogues sont grotesques, les victimes se prennent en selfie avec leur bourreau et le Leprechaun s’amuse même à chevaucher un drone. Il ne va pas me laisser un souvenir impérissable, mais il m’aura bien fait marrer malgré tout !
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